20 idées de SMS pour souhaiter un bon Marathon de Paris 2026 à vos amis
par Salima Bachar
Partagez
Souhaitez-leur du courage avec un sourire !
1. "Prêt(e) à conquérir Paris en baskets ? Go champion(ne) ! 🏃♂️🏃♀️"
2. "Aujourd’hui, c’est toi le roi/la reine de la piste ! 👑"
3. "Mets le feu au bitume, Paris n’attend que toi ! 🔥"
4. "Ton marathon, c’est comme un vin de Paris : exceptionnel ! 🍷"
5. "Des kilomètres de courage, une dose de folie : c’est ton jour ! 🚀"
Boostez-les avant la course
6. "Un pas après l’autre, Paris est à tes pieds. 🌟"
7. "Chaque foulée est une victoire : aujourd’hui, tu es invincible ! 💪"
8. "L’Arc de Triomphe t’attend… en courant, pas en taxi ! 🏁"
9. "Respire, cours, profite : ce marathon est ton aventure. 🌍"
10. "Paris va vibrer sous tes baskets ! Fais-les danser ! 🎶"
Restez drôle et léger
11. "Courir un marathon ? Facile… enfin, pour toi ! 😅"
12. "Si tu finis, je t’offre une baguette. Motivé(e) ? 🥖"
13. "Allez, pense au chocolat chaud à l’arrivée ! ☕"
14. "Rappelle-toi : pas besoin de sprinter pour impressionner. 😉"
15. "Ce marathon, c’est juste un tour de pâté de maisons XXL. 🏙️"
Encouragez-les à persévérer
16. "Les kilomètres passent, mais ton sourire reste : garde-le ! 😃"
17. "Si c’est dur, regarde autour : Paris est magnifique ! 🌇"
18. "Chaque pas te rapproche de la ligne. Tu peux le faire ! 💥"
19. "Laisse les doutes derrière : ils ne courent pas aussi vite que toi. 🌪️"
20. "Marathon rime avec ambition. Et toi, tu l’as ! 🏆"
Bonus : Un message universel
"Peu importe le chrono, tu gagnes déjà notre admiration. Bon marathon ! ❤️"
Envoyez ces SMS avec des emojis et un ton chaleureux, et vos amis se sentiront invincibles !
Faut-il vraiment souhaiter un bon Marathon à ses amis ?
Mais bien sûr que oui. Et pas juste pour faire joli. On ne parle pas d’un texto du genre "bonne journée" envoyé à la va-vite, coincé entre deux appels. Non. Là, c’est autre chose. Souhaiter un bon Marathon de Paris 2026 à un ami, c’est tendre la main, c’est dire "je te vois", "je sais ce que tu traverses", "je suis là, même à distance". Et mine de rien, c’est puissant.
Courir 42 km, ce n’est pas une promenade digestive. C’est un mélange de folie douce, de sueur, de courage et parfois d’un brin de masochisme. Alors quand quelqu’un s’y lance, lui dire "bon courage", ce n’est pas une politesse. C’est un petit vent chaud dans le dos, au moment où il ou elle va affronter le bitume, les doutes, et ce fichu 30e kilomètre qui fait vaciller les certitudes.
C’est symbolique, non ?
Tellement. Le Marathon, c’est la métaphore parfaite de la vie. Long, imprévisible, parfois cruel, souvent beau. Alors quand on souhaite un bon Marathon à un proche, on ne parle pas que de baskets. On parle de la force de continuer, même quand ça brûle. On parle d’aller au bout de soi-même, d’écouter son souffle, de faire la paix avec ses jambes quand elles veulent lâcher.
C’est un peu comme si vous envoyiez un message secret : "je crois en toi, même quand t’en peux plus". Et franchement, qui n’a pas besoin d’entendre ça, au moins une fois ?
Est-ce que ça peut vraiment les motiver ?
Oh que oui. Parce qu’un mot au bon moment peut faire basculer une journée. Un simple "je pense à toi pour le marathon dimanche" peut redonner du jus, là où le mental flanche. Courir, c’est aussi dans la tête. Et quand l’énergie s’effrite, savoir qu’il y a quelqu’un qui a pris une minute pour écrire un message sincère, ça réchauffe.
Parfois, les coureurs relisent ces mots avant de partir. Ou les entendent résonner en boucle quand ils franchissent la ligne. C’est invisible, mais ça pousse fort. Comme une main posée dans le dos. Comme une lanterne qu’on laisse allumée dans la nuit.
Que dire exactement ? Un simple "bon courage" suffit ?
Ça dépend. Si vous voulez marquer les esprits, évitez le générique. Oubliez le "bon marathon" balancé sans âme. Ce que votre ami va vivre, c’est intense. Il mérite un mot qui lui ressemble. Si c’est un proche, vous connaissez ses galères, ses fêlures, ses envies de dépassement.
Alors glissez-y une phrase personnelle, un clin d’œil à un souvenir partagé, un trait d’humour, ou même une petite image : "Que tes jambes soient aussi légères que ta playlist du dimanche matin" ou "tu vas tracer ce bitume comme un avion de chasse tranquille". L’idée ? Qu’il ou elle vous entende rire ou sourire au moment où la montre bippe le départ.
Et si on n’aime pas courir soi-même ?
Aucun problème. On n’a pas besoin d’être coureur pour être supporter. Justement, parfois, le regard extérieur est plus tendre, plus doux. Vous, vous voyez l’humain. Pas le chrono, ni les kilomètres. Vous voyez la personne qui s’est levée tôt, qui s’est entraînée quand il pleuvait, qui a hésité, qui a eu peur, et qui malgré tout, s’élance.
Et rien que pour ça, votre message a du poids. Il est vrai. Il ne juge pas la performance. Il applaudit la démarche. Et ça, ça touche plus qu’on ne le pense.
Est-ce une bonne idée de venir les voir courir ?
Oh, c’est même une très belle idée. Si vous êtes sur Paris ce jour-là, placez-vous quelque part sur le parcours. Même pas besoin d’être à l’arrivée. Un visage connu au 15e ou au 25e kilomètre, ça change tout. C’est un petit miracle en baskets.
Les coureurs vous le diront : il y a ce moment où le corps proteste, où tout devient flou… et soudain, une voix familière crie leur prénom. Et là, boum. Le cœur repart. Les jambes suivent. Même si vous ne courez pas, vous venez de devenir une partie du souffle. Une bouffée d’amour au milieu de la foule.
Et pour ceux qui ne finiront peut-être pas ?
C’est là qu’il faut redoubler de tendresse. Parce qu’on ne parle pas toujours de finishers. On parle d’humains. Et parfois, la course s’arrête plus tôt. Douleur, fatigue, coup de mou. Mais est-ce que ça efface les mois d’entraînement ? Les doutes surmontés ? Les rendez-vous manqués pour aller courir dans le froid ? Absolument pas.
Alors oui, même pour ceux qui ne verront pas la ligne d’arrivée, un message fait du bien. Un "je suis fier de toi" sincère. Un "tu t’es battu, c’est ça qui compte". Parce que la vraie victoire, c’est souvent d’avoir osé.
Le Marathon de Paris, c’est si spécial que ça ?
Oui. Et pas juste parce que c’est la capitale. C’est un marathon mythique, oui, mais aussi un poème à ciel ouvert. On court entre les monuments, entre les souvenirs d’enfance et les rêves d’adulte. Il y a la foule, le pavé, les applaudissements comme des vagues. On longe la Seine, on traverse des ponts. On vit Paris, mais autrement. Comme si chaque pas était un mot sur une grande page d’histoire.
Alors quand on souhaite un bon Marathon de Paris, on ne parle pas que d’une course. On parle d’une aventure dans une ville qui pulse, qui éblouit, qui bouscule.
Est-ce que ça crée du lien ?
Oh que oui. C’est un moment de complicité. Un espace suspendu où les rôles changent. Celui ou celle qui court devient le héros du jour. Et vous, en soutenant, vous devenez un morceau de son épopée. Plus tard, on en reparlera. "Tu te souviens de ton message ? Il m’avait boosté." Ces petits mots-là restent, longtemps.
Et parfois, c’est l’inverse. Vous n’y pensiez pas, et un jour, vous aussi vous enfilez les baskets. Parce que quelqu’un vous a écrit un jour "je crois en toi". Et là, le cercle se referme, joliment.
Faut-il le faire à l’avance ? Ou le jour-même ?
Les deux, c’est encore mieux. Un petit mot quelques jours avant, ça prépare. Ça dit : "je suis avec toi dans la montée". Et le jour J, un message tôt le matin, avant le départ, c’est comme une amulette. Et si vous êtes vraiment joueur, un mot à l’arrivée (ou même pendant la course, si vous suivez le tracking), c’est la cerise sur le dossard.
L’important, ce n’est pas tant le timing. C’est l’intention. Le cœur derrière les mots.
Même pour un collègue, ça se fait ?
Et comment. Ce n’est pas réservé aux proches intimes. Le Marathon, ça dépasse les cercles. C’est un exploit qui force le respect. Si un collègue vous en parle, prenez une minute. Un petit message sur Slack ou par mail. Pas besoin d’en faire des caisses. Juste une phrase qui montre que vous écoutez, que vous soutenez.
Et là, vous venez peut-être de créer un lien discret, mais fort. Comme un sourire dans un couloir silencieux.
Si vous hésitez encore à envoyer ce petit message de soutien, posez-vous cette question : et si c’était vous qui couriez ? Est-ce que ça vous ferait du bien, qu’on pense à vous ? Probablement. Alors faites-le. Même avec vos mots maladroits. Même si vous n’y connaissez rien. Ce n’est pas la forme qui compte. C’est la lumière qu’on glisse dedans.
Parce qu’en vrai, un vœu sincère pour le Marathon de Paris 2026, c’est comme un petit trésor en avance. On le glisse dans la poche mentale du coureur. Et il le sort au moment où tout tremble. C’est ça, la vraie magie.
À propos de Salima Bachar
Salima Bachar est autrice pour La Maison des Sultans. Elle écrit avec la mémoire du sable, la douceur des rituels anciens et la richesse des secrets glissés entre les fêtes lumineuses et les rêves qui veillent. Beauté, bien-être, maison, voyages… Ses textes célèbrent les gestes discrets, les traditions vivantes et les symboles qui traversent le temps. Entre matières naturelles et récits sensibles, sa plume relie l’intime à l’universel, avec une voix sensorielle et profonde.
📮 Un mot doux, une question, un souvenir à partager ?
Salima répond toujours : contact@lamaisondessultans.com