enlever le mauvais oeil avec de l huile d olive

Enlever le mauvais oeil avec de l'huile d'olive

par Salima Bachar

L’huile d’olive, ce trésor doré des terres méditerranéennes, n’est pas seulement un ingrédient de cuisine. Dans de nombreuses traditions, elle est aussi utilisée comme un remède spirituel puissant, capable de protéger et de purifier. Enlever le mauvais œil avec de l’huile d’olive est un rituel ancestral, pratiqué pour libérer des énergies négatives. Que vous ayez l'impression d’être sous le coup de mauvaises vibrations ou que vous cherchiez simplement à rétablir votre équilibre intérieur, ce rituel simple mais symbolique pourrait bien être la clé pour chasser le mal et restaurer la paix. Comment fonctionne cette méthode et comment l’utiliser au quotidien ? Explorons ensemble ce secret ancien.

Eloignez le mauvais oeil avec de l'huile d'olive

L'huile d'olive est souvent utilisée dans certaines cultures pour diverses croyances et pratiques traditionnelles, y compris pour éliminer le mauvais œil.

Ces pratiques ne sont pas scientifiquement prouvées, elles se transmettent de générations en générations et relèvent davantage de la croyance populaire...

Si vous souhaitez essayer d'utiliser de l'huile d'olive pour enlever le mauvais œil, voici une méthode courante :

  1. Choisissez de l'huile d'olive de qualité, de préférence extra vierge.

  2. Trouvez un récipient propre et versez-y une petite quantité d'huile d'olive.

  3. Récitez une prière ou une intention positive, en demandant à l'huile d'olive d'éliminer le mauvais œil ou les énergies négatives.

  4. Appliquez délicatement une petite quantité d'huile d'olive sur le front, les tempes, les épaules ou toute autre partie du corps que vous pensez affectée par le mauvais œil. Vous pouvez également demander à quelqu'un de le faire pour vous.

  5. Visualisez ou imaginez que l'huile d'olive agit pour éliminer les énergies négatives et protéger contre le mauvais œil.

  6. Après un court moment, vous pouvez essuyer l'huile d'olive avec un chiffon propre ou la laisser être absorbée par la peau.

Ces pratiques sont basées sur des croyances culturelles et spirituelles, et elles ne remplacent en aucun cas un avis médical ou une assistance professionnelle en cas de problèmes de santé. Mais, vous le savez bien!

 

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FAQ : Ce qu’on entend, ce qu’on croit, ce qu’on ressent sur l’huile d’olive contre le mauvais œil

D’où vient cette idée d’utiliser de l’huile d’olive contre le mauvais œil ?

C’est une pratique très ancienne, qu’on retrouve dans de nombreuses cultures méditerranéennes. Grèce, Italie du Sud, Maghreb, Turquie… L’huile d’olive, symbole de pureté, de lumière, de vérité, est utilisée dans des rituels de protection, souvent transmis oralement. Elle n’est pas là pour nourrir, cette fois, mais pour débusquer ce qui ne se voit pas.

Comment se déroule le rituel avec l’huile d’olive ?

En général, on fait tomber quelques gouttes dans un verre d’eau claire, souvent en prononçant une prière ou une invocation silencieuse. Si l’huile se dissout, si elle s’éparpille, si elle forme des figures étranges, c’est “mauvais œil”, dit-on. Certains lisent les formes, d’autres se fient à l’intuition. Et après ? On jette l’eau au loin, discrètement. Pour couper le lien.

Est-ce que ça fonctionne vraiment ?

C’est une question de foi, de perception, de tradition. Beaucoup disent avoir ressenti un soulagement, un apaisement immédiat, une sensation de légèreté après le rituel. Est-ce l’huile ? Est-ce l’intention ? Est-ce l’effet de se sentir protégé·e ? Peut-être tout ça à la fois. C’est une pratique plus symbolique que scientifique, mais qui reste profondément ancrée dans les mémoires familiales.

Peut-on le faire soi-même ou faut-il quelqu’un ?

Certains le font seuls, en silence. D’autres préfèrent faire appel à une personne de confiance, souvent une femme âgée, une grand-mère, une tante, une “connaisseuse”. Ce n’est pas une obligation, mais dans les traditions, le geste transmis a autant de poids que le rituel lui-même. Comme si l’énergie passait de main en main.

Faut-il utiliser une huile spécifique ?

On parle toujours d’huile d’olive vierge ou extra-vierge. Une huile pure, non coupée, de préférence pressée à froid. Pas celle qu’on utilise pour frire les frites. L’huile a ici une valeur symbolique, presque sacrée. Certains choisissent même une huile achetée dans un lieu saint ou bénie dans un lieu de culte. Ce n’est pas obligatoire, mais ça fait partie du ressenti.

Est-ce dangereux ? Y a-t-il des précautions à prendre ?

Le rituel avec l’huile est inoffensif sur le plan physique. Mais il peut soulever des peurs, des projections, des émotions enfouies. Si vous vous sentez mal à l’aise, si cela vous perturbe plus que ça ne vous apaise, mieux vaut faire une pause. Il ne faut jamais forcer un rituel. La confiance et la clarté sont essentielles.

Est-ce compatible avec d’autres croyances ou religions ?

Dans certaines familles, oui. Dans d’autres, non. Tout dépend de l’ouverture, de la frontière qu’on met entre croyance et superstition. Pour certains, ce rituel est folklorique, pour d’autres il est spirituel, pour d’autres encore, il est interdit. Il est essentiel de respecter son propre ressenti, mais aussi les cadres dans lesquels on a été élevé. Il n’y a pas une seule vérité.

Peut-on enlever le mauvais œil uniquement avec ce rituel ?

Pas toujours. Certains disent que ça aide, mais que ça ne suffit pas. D’autres y associent des prières, des lectures, du sel, des fumigations, des invocations. Le plus important reste l’intention. Si le geste est creux, il ne changera rien. Si le cœur est impliqué, tout devient possible. L’huile n’est qu’un support. Le vrai pouvoir est ailleurs.

NB :
Il faut le dire, sans tout désenchanter : ce rituel ne remplacera jamais un soin, une parole, un accompagnement. Il n’est pas un médicament, ni un remède miracle. Mais il peut soulager autrement, en ramenant un peu de calme là où tout semblait agité.

On ne peut pas tout prouver. Ni tout expliquer. Et c’est peut-être là que se cache la puissance de ce genre de pratiques. Elles parlent à l’invisible. Elles agissent sur des couches qu’aucune analyse ne peut disséquer.

Mais ce n’est pas parce qu’un rituel est ancien qu’il est forcément juste pour tout le monde. Alors on observe, on ressent, on décide. Avec respect. Avec intuition. Avec discernement aussi.

L’huile d’olive, dans cette histoire, n’est pas magique. Mais elle nous tend un miroir. Et parfois, ça suffit à remettre un peu de lumière là où ça coinçait.

À propos de Salima Bachar

Salima Bachar est autrice pour La Maison des Sultans. Elle écrit avec la mémoire du sable, la douceur des rituels anciens et la richesse des secrets glissés entre les fêtes lumineuses et les rêves qui veillent. Beauté, bien-être, maison, voyages… Ses textes célèbrent les gestes discrets, les traditions vivantes et les symboles qui traversent le temps. Entre matières naturelles et récits sensibles, sa plume relie l’intime à l’universel, avec une voix sensorielle et profonde.

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Salima répond toujours : contact@lamaisondessultans.com

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