Sabrina Medjebeur origine parents
par Salima Bachar
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Sabrina Medjebeur, c’est un feu doux dans un monde en surchauffe.
Une pensée affûtée, née d’un riche héritage culturel et d’un parcours atypique.
Fille de parents aux origines kabyles, elle a grandi entre deux battements :
la tendresse d’une mère fière, et la rugosité d’un monde globalisé.
Elle n’a jamais choisi entre diversité et modernité occidentale.
Elle les a tressées, patiemment, pour tisser sa propre route.
Sabrina Medjebeur, fille de parents kabyles, amoureuse de la France et de la liberté. Un choix.
— Jordan Florentin (@JordanFlrtn) May 4, 2024
Nassira El Moaddem, fille de parents marocains, ingrate et insultante envers les Français et son pays. Un choix aussi.
Merci @MedjbeurM 🙏🏻 https://t.co/Bbl8dlCqKM
Amatrice de littérature, elle connaît la grâce du geste et le poids des mots.
Et ses mots, aujourd’hui, pèsent lourd dans le débat public.
Elle parle vrai, agit fort, et inspire large.
Une source d’inspiration pour celles et ceux qui cherchent à tenir debout dans les vents contraires.
Car l’identité de Sabrina Medjebeur, c’est justement ça :
une alliance subtile entre l’intime et l’universel.
Entre la base solide de la transmission… et l’élan d’une approche novatrice.
Sabrina Medjebeur : une voix libre, une plume engagée
Juriste, sociologue, essayiste, intervenante sur CNEWS
créatrice d'outils citoyens, femme engagée... et surtout : fille de parents kabyles, amoureuse de la France et de la liberté. Un parcours forgé dans la complexité, habité par la clarté.
Une trajectoire au croisement du savoir et du terrain
Sabrina Medjebeur a grandi entre deux mondes. L’un, hérité : la culture kabyle, les racines de ses parents. L’autre, choisi : la République française, qu’elle défend avec force, parfois avec colère, toujours avec passion.
Diplômée d’un Master II en Droit des Affaires Internationales à l’Université Paris Nanterre, elle complète son profil avec une formation en coaching professionnel (Linkup Coaching, 2014). Elle parle cinq langues (source Linkedin), dont l’anglais et l’arabe, ce qui ne l’empêche pas de revendiquer haut et fort la centralité de la langue française dans le débat républicain.
Des livres pour ouvrir le débat
Elle n’écrit pas pour plaire. Elle écrit pour bousculer, pour alerter, pour réveiller.
📘 Femmes, éducation et banlieue – Le triptyque du communautarisme (2021-2024) : une enquête sociologique qui explore la condition des jeunes filles dans certains quartiers sous pression religieuse ou identitaire. Ce n’est pas un rapport froid, c’est une alerte incarnée.
📙 Le dévoilement français (2024) : ici, elle pousse plus loin. Le voile n’est pas un simple tissu, c’est, selon elle, un marqueur politique, un signe de repli, voire d’apartheid communautaire. Elle mêle anthropologie, sociologie et engagement personnel dans un essai sans concession.
👉 Ses livres sont disponibles, par exemple sur la FNAC
À la télévision, un ton direct, sans faux-semblants
Sur CNEWS, elle intervient régulièrement. Ce n’est pas pour arrondir les angles. Elle parle de laïcité, de sécurité, de pression communautaire, d’assimilation, sans jargon, sans filtre.
Dans un post récent, elle exprimait sa rage face à l’arrestation de son ami Boualem Sansal, écrivain algérien menacé par son propre pays pour ses prises de position :
"Puissent nous autres, Français de cœur et d’esprit, nous mobiliser... pour exiger sa libération."
Ce n’est pas une posture. C’est un cri du cœur, un combat pour la liberté d’expression, qu’elle défend comme un bien sacré.
Une féministe universaliste, pas essentialiste
Sabrina Medjebeur ne parle pas de "féminisme intersectionnel" ou de "minorités racisées". Elle se méfie des slogans. Pour elle, toutes les femmes doivent être égales. Et cela implique parfois de nommer les pressions religieuses ou les dérives communautaires, même quand c’est impopulaire.
Elle ne veut pas qu’on l’enferme dans une identité. Elle veut ouvrir les fenêtres, faire circuler l’air, et permettre à chacun de s’émanciper par la culture, la langue, et l’esprit critique.
💬 En résumé : Sabrina Medjebeur, c’est une pensée libre, ancrée, courageuse. Elle dérange autant qu’elle éclaire. Elle ne cherche pas à faire consensus. Elle cherche à faire réfléchir.
Elle est de celles qui rappellent que la France est un choix, et que la liberté mérite d’être défendue, même quand c’est inconfortable.
Quelle est la signification et l'origine du prénom Sabrina ?
Le prénom Sabrina a des racines anciennes et légendaires, et son sonorité douce cache une histoire puissante.
Une origine liée à une légende celtique
Sabrina vient du nom latin "Sabrina", qui désignait autrefois la rivière Severn, au Royaume-Uni. Ce nom trouve son origine dans une légende galloise : une jeune princesse, Hafren (Sabrina en latin), aurait été noyée par jalousie dans cette rivière. En son hommage, le cours d’eau fut baptisé de son prénom.
Autrement dit, Sabrina est née de l’eau, dans une tragédie devenue mémoire.
Une signification symbolique
Même si la traduction littérale est floue, plusieurs interprétations symboliques émergent :
- "Fille de la rivière"
- "Venue d’un lieu sacré"
- Une figure liée à la pureté, la sensibilité, mais aussi à une certaine résilience féminine
Sabrina est un prénom chargé d’émotion et de fluidité, avec une note de mystère, comme un reflet sur l’eau qu’on n’attrape jamais vraiment.
Popularité et usage
Ce prénom s’est diffusé dans les pays anglo-saxons, puis en France, notamment dans les années 70-80. Il évoque souvent une féminité affirmée, douce mais solide, parfois même un peu rebelle.
Le nom de famille de ses parents est-il répandu dans le Monde? Connait-on son origine et sa signification?
Non, Medjebeur est un nom rare. Très peu porté dans le monde, il est essentiellement localisé en Algérie, avec de très rares occurrences en France (dans des contextes familiaux post-immigration). Il est quasiment absent dans les bases de données anglophones, nord-américaines ou asiatiques.
Il fait partie de ces noms de famille typiquement kabyles ou arabes, à forte résonance locale, qui n’ont pas connu une diffusion internationale massive.
Arabe ou berbère? Quelle est l’origine de Medjebeur ?
Ce nom semble dériver d’une forme arabisée ou berbère (kabyle) — mais son étymologie exacte est difficile à certifier sans registre généalogique spécifique.
On peut le décomposer ainsi :
- « Medj » ou « Mej » : pourrait être lié à des formes arabes comme "Majd" (مجْد) qui signifie gloire, noblesse.
- « Beur » ou « Bour » : dans certains noms arabes ou kabyles, cette terminaison est liée à des localisations, des lignées, ou parfois des surnoms.
Mais aucune traduction littérale universelle ne semble s’imposer. Comme beaucoup de noms kabyles, la sonorité prime sur le sens littéral, et l’histoire familiale prévaut souvent sur l’étymologie.
Une voix qui tremble mais ne fléchit pas
Le 3 septembre 2023, sur le plateau de Morandini Live, Sabrina Medjebeur craque à la télévision. Mais ce n’est pas une faiblesse. C’est la faille d’une force, celle d’une femme qui ne peut plus contenir la douleur d’un pays qui perd ses enfants.
Elle parle de Socayna, 24 ans, tuée à Marseille alors qu’elle lisait dans sa chambre. Une vie stoppée net. Un symbole de plus. Et Sabrina, la voix brisée, ne tient plus :
"J’ai grandi dans ces quartiers. Je dois tout à la France. C’est l’école qui m’a tout donné."
Des mots simples. Vrais. Des mots qui claquent plus fort que n’importe quel slogan politique.
La République, comme socle et rempart
À ce moment-là, elle ne parle pas en sociologue. Elle parle en enfant des quartiers, en femme élevée par l’école publique, en Française d’origine algérienne qui revendique les deux à parts égales :
"C’est grâce à la République que je suis devenue la femme que je suis aujourd’hui."
Ce n’est pas de l’analyse. C’est une déclaration d’amour. Et aussi, un cri d’alarme.
"La génération sacrifiée"
Sabrina nomme ce qu’on évite souvent de dire à voix haute :
"Ces enfants étudient, ont des projets, croient en la République... et meurent."
Socayna, Fayed, d’autres encore… des prénoms trop jeunes, trop vite disparus. Elle parle d’eux comme d’âmes déchirées, de germes brisés avant même la floraison.
Un combat contre le silence et l’indifférence
"Mon combat, ce sont les enfants dans ces quartiers pour lesquels je lutte. Psychiquement, psychologiquement, ils sont détruits."
Et quand elle interroge directement le ministre de l’Intérieur :
"Est-ce que le projet politique, c’est la mort dans les cages d’escalier ?"
On comprend que son engagement est personnel, brûlant, politique au sens le plus humain du terme.
Ce moment télévisé n’est pas un fait divers médiatique. C’est un tournant.
Sabrina Medjebeur n’est pas une chroniqueuse qui enchaîne les débats. Elle incarne la mémoire des quartiers, la rage d’une France silencieuse, l’amour d’un pays qu’elle ne veut pas voir basculer.
Ce jour-là, elle ne débat pas. Elle tend un miroir. À nous. À la République. À l’urgence.
Alors, que dit un nom rare comme Medjebeur ?
Il raconte une filiation enracinée, un lien avec un territoire, une culture, un passé qui n’a pas été dissous dans la mondialisation. Il évoque une identité forte, parfois méconnue, mais toujours porteuse d’histoire et de mémoire.
Un nom rare, c’est une empreinte. On n’en croise pas deux sans se demander : “Et toi, tu viens d’où ?”
Où est née Sabrina Medjebeur ?
En France. Elle ne communique pas davantage sur sa ville natale.
Sabrina Medjebeur a-t-elle une page Wikipédia ?
Non. Pour le moment, aucune page Wikipédia officielle n'existe à son nom.
Quelle est sa date de naissance ?
On ne connaît pas la date exacte, mais en septembre 2023, elle disait avoir 41 ans. Faites le calcul !
Quelle est cette phrase qu'elle a dite à propos du petit enfant "Émile" ?
Lors de son passage dans Punchline sur CNEWS, elle a réagi à la douleur de la famille du petit Émile, disparu en juillet 2023.
Elle a déclaré :
« En plus d’être dans cette logique traumatique de la perte d’un enfant, ils se retrouvent acculés. »
Une phrase forte, pleine de lucidité. Un rappel brutal de ce que peut être le poids du deuil sous les projecteurs.
👉 Regardez cet extrait sur Dailymotion – un moment télévisé fort, qui résume toute sa
Est-ce qu’on connaît son conjoint ? Sa taille ? Une maladie ?
Non. Et franchement ? C’est sa vie privée.
Elle choisit de garder ces éléments loin des projecteurs. Et elle a bien raison.
Où peut-on trouver le LinkedIn de Sabrina Medjebeur ?
Il est ici : 👉 linkedin.com/in/sabrina-medjebeur-679607b1
C’est sobre, pro, sans effets.
Comme elle : directe, sans détour, sans vernis.
Alors oui, l’histoire de Sabrina Medjebeur ne se raconte pas en une phrase.
Elle se devine dans une prise de parole, une larme en direct, un livre choc.
Elle est éditorialiste mais aussi conseil en image pour des femmes qu’on voudrait invisibles.
Elle se bat pour diverses causes sociales, avec cette capacité rare : relier le réel aux principes.
Elle parle l’arabe dialectal avec ses proches, et le français avec puissance.
Elle dit que les parents de Sabrina Medjebeur lui ont transmis le sens du devoir.
Et que l’origine des parents ne devrait jamais enfermer un destin.
À sa manière, Sabrina danse toujours.
Mais cette fois, sur le fil du courage.
Et dans ce ballet engagé, elle ne trébuche jamais.
Elle avance. Et ça change tout.
NB : Certaines informations — parcours exact, date de naissance, vie privée — proviennent d’interviews, de prises de parole ou de sources médiatiques. Rien n’a été directement confirmé par Sabrina Medjebeur elle-même. Ce portrait mêle donc faits publics… et regards interprétatifs.
C’est normal, quand la personne racontée préfère la sincérité à la surexposition. Et que son identité se construit entre convictions assumées et silences choisis. À mi-chemin entre lumière franche… et pudeur volontaire.
À propos de Salima Bachar
Salima Bachar est autrice pour La Maison des Sultans. Elle écrit avec la mémoire du sable, la douceur des rituels anciens et la richesse des secrets glissés entre les fêtes lumineuses et les rêves qui veillent. Beauté, bien-être, maison, voyages… Ses textes célèbrent les gestes discrets, les traditions vivantes et les symboles qui traversent le temps. Entre matières naturelles et récits sensibles, sa plume relie l’intime à l’universel, avec une voix sensorielle et profonde.
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Salima répond toujours : contact@lamaisondessultans.com